quelque part la démocratie

De la république de Platon à la France de Macron
vendredi 8 novembre 2019

Dans une rubrique verouillé je viens de passer un moment agreable à lire le sujet de la démocratie....

Je termine ravi de lire autant des interventions.

J’en sort nulle doute nourris avec des notes pour le moins argumentés les unes plus que les autres, reste pour mois, ignare illettré un bien grand honneur d’intervenir, dans un milieu, impossible d’accès pour ce que je suis, immigré colombien vivant à présent dans sont pays, après trente ans de vie en France jusqu’au troisième licenciement (lequel m’a permis de gagner au tribunal) à plus de cinquante-cinq ans, (j’ai alors tout laissé, épouse française, maison, tout sauf une valise à main quelques pinceaux et peintures) ; cela est loin de m’empêche de penser encore dans une autre langue que ma langue maternelle, au passage mille et une excuses pour ce français approximatif imparfait, horrible qu’est le miens.

J’écrivais alors avant l’an 2010, vers 2005, « je suis naïf quoi » et bien des sujets donc vous avait touché, m’intéressaient déjà :

http://gramophone.uniterre.com/29102/Je+suis+na%C3%AFf+quoi!.html

La lecture sous le filtre de Descartes, donne une autre dimension, bien sur qu’il y a là, pas qu’un filtre à utiliser, quand je parle de filtres bien évidemment qu’il s’agit des lectures, (j’ai toujours été le plus rétif à lire des nouvelles et des romains), vous le savait beaucoup mieux que moi, ce sont déjà vingt-cinq siècles, où la notion de démocratie aurait  supportée des changements divers, par la force des évolutions de tout genre.
En parlant de filtres, et pour rendre concis mon écrit, oui quelle qu’elle soit la pensée prise pour filtrer, nous sommes dans l’obligation très humbles, devant le volume même de la connaissance.

La première idée qui vienne à mon esprit, est celle du travail pluridisciplinaire.

La philosophie à elle seule ne pourra pas en faire sans dommages, le tour de cette question, oui la démocratie. Pourrions nous passer comment si rien était, devant les pensées de Pascal. Parce qu’il y a beaucoup à considérer, lorsque vous abordé le sujet de l’illettrisme, donc moi même j’en fait partie. Jamais l’érudition est le fruit d’une quelconque héritage génétique (Hugues Duffau neurochirurgien de Montpellier) comme la vérité, la raison et la justice, perdent tout leur intérêt devant des l’éristique bien plus avant des considérations de Schopenhauer (l’art d’avoir toujours raison), bien avant les sophistes, vers Euthydème.

Je ne vais pas non plus claudiquer pour autant, vous n’ont plus ? Oui parce qu’il faut jamais penser ou tout noir ou tout blanc. Là à mon humble avis, radique non pas cette réponse que vous cherchiez avec tant d’entrain ; non je serait trop prétentieux, bien trop vaniteux en vous montrant un quelconque chemin, qui n’est que celui que vous avait réussi à me faire parcourir lors de cette excellente lecture de vos interventions.

Au risque de paraître ridicule j’avoue que je regarde les faits divers, quant aux révoltes de différentes villes et pays, comment des symptômes, d’une maladie en face terminale pour « cette » civilisation, ou empire ou comment vous préférez l’appeler. Je dois reprendre donc de PASCAL, le concept de roseau pensant, pour le figer tel un but de carton avec une punaise, dans un tableau où vous voulez aborder l’éducation. De cette manière je prendrai si vous me le permettez l’affrontement entre Hayek et Keynes, puis l’erreur d’Alain Greenspan, alors que touts les alarmes s’allumaient pour le crach de 2008, sans oublier que j’ai pestiférait au printemps allant au travail un matin du printemps de cette même année en entendant sur France Info. Celle qu’alors été ministre de finances, dire « que le problème des hypothèques aux USA, était un problème mineur qui ne pouvais en rien affecter le reste du monde.

J’arrête là, car je reste en ligne avec le philosophe Marcel Conche en affirmant que ceci n’est pas la démocratie, et d’ajouter que nous sommes devant la dictature des banques. Qui plus est, avec l’historique des rapports chaque année de OXFAM, quoi dire d’autre ? Nous serions bien trop naïfs en voulant penser différemment ne c’est pas ?

IDÉOLOGIE PENSÉE ET SOCIÉTÉ

Fait à la Jonquera le mardi 7 juillet 2020 par Nestor Elias Ramirez Jimenez

LE DISCERNEMENT

La société loin d’être une conception nouvelle, se construit en parallèle avec l’humanité depuis qu’elle abandonne le stade nomade. Un anthropologue, un sociologue, un érudite pourrait trouver cette première phrase plus qu’absurde. Sauf que je viens de lire aujourd’hui mardi 7 juillet 2020, sur un des canaux courants de Twitter, des personnes qui profèrent des insultes, voir des vulgarités, ou d’au moins se comportent en faisant fit d’ignorer la réalité.

Je comprends déjà depuis trente ans au moins, que j’écris, que j’analyse, le discours, qu’il y a une sorte de groupes plus proches des psittaciformes que de gens pourvus du discernement à la manière qui prône René Descartes.

Nous devrions déjà aborder plusieurs sujets, donc le discernement, nous ne disposons depuis l’angle de vue (il faut une observation pluridisciplinaire lorsque nous voulons avoir une opinion proche du domaine scientifique) de la psychologie ou la psychiatrie, d’une définition consensuelle du discernement ; « y voir claire », « faire la part des choses », il y a depuis le pont de vue de la psychiatrie, donc un éventail de symptômes qui sont classés comment légitimes dans le groupe de « troubles du discernement » .

Attention ! Pour une erreur de discernement, et seulement alors pour cette erreur non seul nous sommes vulgaires, agressifs mais nous pourrions basculer dans des comportement allant jusqu’à l’acte préhensible de tuer une personne. La législation française (exemple) dispose déjà en 1905 de la circulaire Chaumié où le mot figure alors pour l’auteur présumé d’infractions pénales, alinéa 2 d l’article 122-1.

Avec l’aide des neurosciences nous pouvons avancer maintenant qu’il est nécessaire d’abord l’acte de pensée pour arriver à altérer le discernement, donc il y a nécessairement deux niveau au moins, d’altération du discernement, donc le première (pris au hasard) est le discernement de l’être humain qui n’a jamais eut contacte avec des éléments de jugement, des connaissances, des éléments à l’origine de la situation ou du fait devant lequel il agit en conséquence, en réponse ou en réaction.

En deuxième lieu, nous avons la réponse, la réaction, l’acte qui est construit, échafaudé, pensée, comment réponse, réaction, a une situation, a un fait donc l’être humain connaît avec exactitude ses causes.

Dans le premier cas, s’il y a besoin de jugement pénal, le poids de la justice n’est pas le même que dans le premier cas, et ne pourrait y être le même, en particulier pour des situations de jugement, où qui agit ne dispose pas des éléments, lui permettant une réponse adaptée, mesurée, tandis que dans le deuxième cas, qui émet le jugement, en connaissant les causes réelles de la situation qu’il considère, mais qui malgré cela, tente de répondre non pas sur la base des faits et connaissances, mais par une autre motivation, alors il commet une faute, car il y a volonté manifeste de juger sans fondements.

La pensée et le discernement, ne sont pas deux entités toujours identiques ou concordantes, il y a par moments soit l’influence de l’idéologie, (Karl Mannhein) par moments persiste dans nos pensées l’effet pas moins néfaste proche de la vengeance. Les impératifs autres qui altèrent notre discernement pourraient être d’origine économique ou religieux.

Il reste pour un être humain de se abstraire des influences donc, toute opinion influence par ces quatre facteurs ou inclus pour d’autres, reste archaïque, mais surtout nuisible, au bon fonctionnement de la société. Nous ne pouvons de nous jours, ne serait-ce que parce que « nous » sommes censés nous comporter en êtres civilisés, adopter la loi du Talion. Si bien cela semble allers dans le sens d’éviter la pérennisation d’un conflit, cela ne vous évité pas devoir affronter la justice. Dans le cas d’un crime défini comment tel dans la législation pénale. En dehors de la justice, personne se fait justice par soit même.

Alors, quand nous voulons tout simplement donner notre opinion sur un sujet dans les réseaux sociaux, déjà nous admettons d’office disposer du libre arbitre (Bouley), car c’est seulement par la jouissance de celui-ci que nous pouvons discerner. Il y a bien sur deux concepts ici (Kant) lorsque nous associons le vouloir dans le cas de responsabilité morale, lorsque nous associons nos lois alors nous parlons de responsabilité juridique.


IDÉOLOGIE ET POLITIQUE

Nous pouvons parler de ses deux concepts à présent, après avoir légèrement abordé le discernement. Il se trouve devant nous  de manière récurrente un discours stoïque de résilience qui affirme que la précaire est réduite dans le monde.

Ce discours est absolument vraie, si nous regardons le monde de manière curieuse, d’autant plus que la science statistique est un outil merveilleux, mais si nous parlons de la statistique, nous parlons d’une moyenne de revenu.  Naturellement prenons un exemple

les chiffres si nous prenons six chiffres : 100, 40, 10, 7, 3, 2 nous savons que la moyenne est 8,5 est dans un document publique officiel nous pouvons évoquer le chiffre 8,5 sans tromper personne. Hors la perception a première vue du salaire, est qu’il est disons une valeur arbitraire ! De 1830€ par mois, de sorte que c’est officiel, mais nous savons que plus de soixante dix pour cents des gens en France reçoivent tout au plus le salaire minimum qui est encore arbitraire, de 1450€ peut-être. Cela dit, ils ne sont pas touts, donc, a avoir même pas le salaire minimum.

En réalité, pour construire un indice de vie, un élément qui laisse apprécier au plus près la réalité, il y a des chiffres que je considère fiables, produites par OXFAM. Lorsque l’organisation chiffre l’évolution de la concentration des richesses par exemple.

La idéologie, ne doit pas être le seul outil pour établir la politique de cohésion sociale d’un pays. Comment nous venons de voir, la statistique, n’est pas non plus un élément fiable pour prendre des mesures en matière de politique économique.

Dans les années quatre-vingt que l’habité à Paris, lorsque l’on circulait sur le boulevard périphérique, nous pouvons voir des zones vertes, de nous jours partie non négligeable de ces zones vertes est colonisé par des indigents, des sans-abri, en 1959 le budget des dépenses sociales en France étaient de 14 %, en 1981 les mêmes dépenses étaient de 24,5 % en 2009 ces dépenses atteignaient 31,3 % du PIB. En même temps le taux de chômage passe de 7 à 15 %; cela est une autre manière de voir l’évolution de la société. J’ai en plus la certitude que le taux d’emploi informel dans un pays du tiers monde pris au hasard disant la Colombie dans les année 60 n’atteigne pas 30 % de nous jours il y a six de chaque dis personnes en âge de travailler qui occupent un emploi informel dans ce pays.

Il y a en commun des faits dans l’économie mondiale

Oui une d’entre elles est prônée par Margaret Thatcher sous l’égide des idéaux de Keynes, dans une tendance influencée largement par Hayek, (pour Hayek qu’en soit enlevé la poussière à l’idée de De Gounay, en phase avec les premiers travaux sur démographie de Malthus), c’est une intention marqué pour détruire le service publique. Pratique devenu une habitude, avec la transformation en Colombie de TELECOM en vendeurs informelles de minutes à 100 pesos, et des flamboyants entreprises privés au capital étrangers, qui recoupèrent une frange rentable des communications. En France les PTT disparaissent donnant naissance à plusieurs entreprises. Nous ne pouvons pas écarter de la responsabilité ni le pouvoir politique ni le syndicalisme. Bien que ces derniers seul représentent moins de 8 % des employés donc c’est un 8 % de la responsabilité dans le disparition du service publique.

La société actuelle

la société tel qu’elle est de nous jours avance de manière sournoise, vers un sans-issu, car le procès, semble sans marche arrière, sauf, si les plus affectés, les plus concernés (Hermann Scheer) venaient un jours à prendre conscience, et en fin, venaient à prendre en leurs mains leur avenir.  Hors cela, ne risque pas d’arriver, car en 1789, ou en 1968 il y a eut des actes déjà connus, où certains changement semblent favorables, mais dans le fond les changements auraient été annulés avec le temps. Il devienne indispensable, donc, arrêter le travail des philosophes, historiens, qui se limitent à rédiger des constants.

Rappelons-nous que pour écrire l’histoire il est nécessaire appartenir à une élite, déjà c’est un filtre, qu’interdit d’office le discernement ou libre arbitre, (Michel Foucault) Alors, l’idée qui veut que l’empire capitaliste, comment bien d’autres empires (égyptiens, Grecs, Romains) soit un jours fini, est peut-être encore loin.

En attendant vous allé encore entendre, des gens faisant semblent d’ignorer, que le capitalisme est néfaste, faisant semblant d’ignorer que le taux de chômage est un indice important de misère, faisant semblant d’ignorer que des pays comment la Colombie est gouverné par un mafia qui triche inclus sur le suffrage. Faisant semblant d’ignorer que la crise de Venezuela naisse quand les États Unis décident bloquer les exportations de la seul source de richesse de ce pays qu’est à 99 % leur pétrole. Vous allé entendre comment normal que des gens pour ne pas penser comment la mafia d’f6600]Arial Black]Alvaro Uribe Velez[/font] finisent assassinés : les leaders des communautés, les leaders syndicaux, les honorables personnes comment Jamie Garzon, Luis Carlos Galan, Alvaro Hurtado Gomez, et j’en arrête là car la liste des morts est macabre et longue.

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